Vous venez de prendre connaissance du premier bulletin de l’année scolaire de votre enfant ?
Vous observez certains défis sur le plan des apprentissages suite au premier bulletin de votre enfant ?
La première rencontre avec l’enseignant(e) a mis en lumière de belles forces chez votre enfant. Vous avez aussi des questions concernant quelques fragilités sur les plans comportemental et émotionnel ?
Cette période de l’année scolaire est souvent intense pour les parents et aussi pour leur enfant. Le désir sincère de voir réussir son enfant peut entraîner un dépassement de soi chez ce dernier. Parfois, ce même désir peut amener une crainte de décevoir ses parents ou une démotivation face à ses apprentissages scolaires.
Heureusement, cette période est aussi propice à l’ajustement des attentes parentales face au succès scolaire de son enfant. Elle permet l’ajustement des moyens utilisés afin de le soutenir dans l’ensemble de son développement.
L’enfant au-delà de son bulletin
Prenez le temps de discuter de ce premier bulletin avec votre enfant. Par exemple, posez-lui des questions telles que : Comment se perçoit-il face à ses notes ? Est-il en mesure de parler de ses défis ? Arrive-t-il à les reconnaître ?
Aussi, prenez le temps de soulever les bons coups de votre enfant. Rassurez-le en lui faisant comprendre que vous voyez ses forces. Soulignez son potentiel et surtout, démontrez-lui que votre amour dépasse largement son rendement scolaire. Réitérez-lui votre désir de l’accompagner et de le soutenir, de faire équipe avec lui !
Suivez nous cette semaine pour connaître des pistes afin de poursuivre l’année du bon pied !
Vous reste-t-il des questions suite à la réception du premier bulletin de votre enfant ?
Pratiquez-vous à aller au-delà des notes ! Cette semaine, nous vous proposons des idées et des suggestions pour faire face aux défis académiques, comportementaux, ou émotionnels. Finalement, nous discuterons du plan de service adapté, le plan d’intervention individualisé.
Nous vous invitons à nous transmettre vos questions pour nos prochains blogues.
Par Laura Giguère, psychoéducatrice